Dans un développement choquant qui menace de faire basculer le Moyen-Orient dans un conflit élargi, le Hezbollah a lancé une attaque surprise contre Israël, défiant les efforts de l’administration Biden pour négocier un cessez-le-feu entre le Hamas et Israël à Gaza. Cette offensive audacieuse du groupe militant libanais intervient à un moment critique, alors que les diplomates américains intensifiaient leurs efforts pour mettre fin à des mois de violence dévastatrice.

L’attaque du Hezbollah, qui a impliqué des tirs de roquettes et des incursions terrestres le long de la frontière nord d’Israël, a pris les forces de défense israéliennes par surprise, provoquant une réponse militaire immédiate et massive. Des sirènes d’alerte ont retenti dans les villes du nord d’Israël, envoyant des milliers de civils dans les abris alors que les systèmes de défense aérienne Iron Dome s’activaient pour intercepter les projectiles entrants. Le Premier ministre israélien a déclaré que cette agression “ne resterait pas sans réponse”, promettant une riposte “disproportionnée” contre le Liban.

Cette escalade soudaine met l’administration Biden dans une position précaire, confrontée à un dilemme diplomatique complexe. D’un côté, les États-Unis doivent maintenir leur soutien à Israël face à cette nouvelle menace, tout en évitant d’enflammer davantage la situation régionale. De l’autre, ils doivent poursuivre leurs efforts pour obtenir un cessez-le-feu à Gaza, maintenant compliqués par ce nouveau front de conflit. Le président Biden a convoqué une réunion d’urgence du Conseil de sécurité nationale, soulignant la gravité de la situation et la nécessité d’une réponse américaine rapide et mesurée pour éviter une guerre régionale totale.